« Je dis : une fleur ! ….. l’absente de tous les bouquets »
Si l’on songe à MALLARME devant les oeuvres de Bernard REIGNIER , c’est que chacune d’entre elle est un poème , et , qui plus est , assez hermétique . Le sujet , transposé en sa presque disparition vibratoire , échappe au réel . Le mouvement engendre la profondeur dans une perspective évanescente . Un nouveau monde est créé que des effets de transparence donnent l’impression de voir avec des verres magiques . Il y a des coups de pinceau mais il n’y a pas de pinceau . Ce n’est pas une peinture , mais est-ce une photographie ?
Voici un art qui d’emblée va modifier votre regard .
Maurice MENARD